Dette

Histoire, Portrait

William Pitt le Jeune : Réformer pour durer, gouverner pour résister

William Pitt le Jeune : le gardien de l’ordre face au chaos. Il est arrivé au pouvoir à 24 ans pour sauver un régime à bout de souffle. Obsédé par la dette et hanté par la contagion révolutionnaire, il redresse les finances de l’État au prix d’un durcissement autoritaire des libertés publiques. De l’échec irlandais au pivot vers l’Inde, il redessine l’Empire britannique tout en finançant la guerre interminable contre la France napoléonienne. Une figure tragique qui, en sacrifiant tout à la stabilité, a préservé l’ordre ancien en empêchant sa nécessaire transformation.

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Opinion

Quand la dette finance la pauvreté au lieu de la combattre

L’aide au développement est devenue une fiction comptable. En trois ans, les pays vulnérables ont versé 741 milliards de dollars de plus à leurs créanciers qu’ils n’en ont reçu. Tandis que Berlin emprunte à taux réel nul, le Sud paie une prime de risque exorbitante, ou sombre dans le défaut. Ce système ne finance plus l’avenir, il siphonne le présent, transformant la dette souveraine en impôt structurel sur la pauvreté.

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Les Eclats du Silence

Les éclats du silence – Episode 6 : L’art de vivre dans les fissures

Cinq pays. Cinq stratégies. Cinq manières de fissurer l’architecture de la dette.
De l’Équateur au Laos, ces trajectoires prouvent que même le système le plus verrouillé laisse des brèches. L’avenir ne se joue peut-être pas dans l’attente du grand bouleversement, mais dans cette multitude de tactiques silencieuses qui, de l’intérieur, redessinent les rapports de force.

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Les Eclats du Silence

Les Eclats du Silence – Episode 5 : L’arme de la dette

Il existe des effondrements sans bombes ni déclarations de guerre.
Des implosions discrètes, orchestrées par la dette, cette force qui, en silence, reconfigure les souverainetés.

En plongeant dans les trajectoires du Sri Lanka, de la Tunisie, du Liban et de l’Argentine, et en les confrontant à l’exception rwandaise, je tente de cartographier les lignes de faille d’un pouvoir souvent invisible.

Car si la dette est une architecture, elle est d’abord le produit de volontés politiques, financières et stratégiques. Ce ne sont pas les chiffres qui gouvernent, mais ceux qui les manipulent.

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