John Adams

1793. Une nation en équilibre précaire, entre révolutions lointaines et tensions internes. Tandis que l’ombre de l’esclavage s’étend sur le Sud, les idéaux de liberté vacillent sous le poids des querelles politiques. Jefferson claque la porte du pouvoir, exaspéré par une neutralité qu’il juge lâche. Dans l’arène des puissants, chaque décision dessine le futur d’une République encore jeune, où tout peut basculer.

1792, l’Amérique vacille entre éclats et fracas. Washington signe des lois, manie son veto comme un épée, tandis que Wall Street naît dans le tumulte des traders avides. Le pays s’étend, conquiert l’Ouest, fonde Raleigh, mais c’est sur des déséquilibres que se construit cette jeune république, tiraillée entre Hamilton et Jefferson, entre progrès et conflits.

L’année 1791 n’a rien d’une douce berceuse historique. C’est une symphonie dissonante où banques naissantes, colons téméraires, et diplomates maladroits jouent des coudes sur la scène chaotique d’une jeune république. Entre les sermons d’Alexander Hamilton et les prières murmurées par les Sulpiciens, la réalité est une guerre d’influence féroce. Pendant que Washington serre des mains, les Amérindiens tiennent tête et les ambitions britanniques s’enracinent encore. Bienvenue dans une année où chaque geste est une bataille et chaque mot une flamme.