Culte impérial

Civilisations Anciennes, Les Séries

Le 1er Siècle après J.-C. : L’aigle et le vertige : Rome entre ordre et domination

Épisode 5 de la série
Au 1er siècle, Rome invente un tour de force : un empire qui garde les habits de la République. Le Sénat siège toujours. Les magistrats existent encore. Mais le pouvoir, lui, s’est déplacé : personnel, centralisé, vertical. L’adhésion ne se forge pas qu’à coups de glaive. Routes pavées, citoyenneté distribuée, carrières provinciales ouvertes — Rome séduit autant qu’elle soumet. L’administration unifie sans effacer. L’Empire organise ses contradictions : dominer et intégrer, réprimer et élever, unifier sans uniformiser. L’aigle plane haut parce que l’édifice tient — même quand l’homme au sommet vacille.

Le 1er Siècle après J.-C. : L’aigle et le vertige : Rome entre ordre et domination Lire l’article »

Civilisations Anciennes, Les Séries

Le 1er Siècle après J.-C. : Les fondations dissonantes de notre monde

Au 1er siècle après J.-C., le monde invente, sans se concerter, des manières de durer.
De la Chine des Han à la Rome impériale, des reines de Méroé aux marchands de Teotihuacán, des sociétés très éloignées s’affrontent toutes à une même énigme : comment gouverner la diversité sans l’écraser ?

Chacune forge sa propre réponse : centralisation ou fédéralisme, bureaucratie ou aristocratie, syncrétisme religieux ou culte impérial. Chaque choix devient une matrice politique et sociale, dont les échos se prolongent encore dans nos conceptions du pouvoir et de la citoyenneté.

Ce siècle n’a pas fondé notre monde : il a préparé son émergence, en produisant sept foyers, sept modèles, sept héritages. Autant de miroirs qui nous obligent à interroger nos propres contradictions.

Le 1er Siècle après J.-C. : Les fondations dissonantes de notre monde Lire l’article »

Retour en haut